Principe du ferraillage du béton
En tant que pierre reconstituée, le béton (eau, sable, ciment, gravier) est un matériau très résistant à la compression. Cependant, en flexion ou en extension, il montre rapidement ses limites qui tiennent aux liaisons entre ses différents constituants granuleux. Afin de rendre un objet ou une construction en béton résistant aux contraintes d’étirement ou de flexion, il a été décidé d’adjoindre à sa structure un nouvel élément résistant à l’étirement et à la flexion : l’acier.
Le béton est dit armé (car renforcé de fers en acier) associe donc la résistance à la compression du béton aux capacités structurelles de l’acier. À partir du moment où on a commencé à armer le béton avec des fers à béton, il a été possible de construire des édifices assez torturés (arcs et arches, voûtes, volutes…), mais aussi de fabriquer des éléments comme des piquets et même des parois de maisons préfabriquées. Éléments et structures avaient alors leur résistance propre aussi bien pour le transport (flexion, vibrations…) que la mise en place (flèche, suspension…).
Il a suffi que les éléments en béton armé puissent être assemblés entre eux de la même manière pour que toute une construction devienne d’un seul bloc. On noie des fers à béton dans un mur en laissant dépasser ces fers, on construit un second mur dont on assemble les fers aux fers du premier (chaînage) et toute la construction devient alors monobloc, grâce à une structure en acier noyée dans le béton. Le ferraillage qui est possible pour assembler deux murs entre eux a ensuite été étendu aux dalles, fondations, murs et toits en béton notamment pour réaliser des constructions parasismiques.
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